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Le départ du président de l'UDPS pour Bruxelles, officiellement faire un bilan de santé, est peut-être la conséquence directe du blocage actuel dans les discussions sur l'arrangement particulier. 


Pendant que les discussions entre acteurs politiques se poursuivent pour la mise en oeuvre de l’accord du 31 décembre 2016, l’opposant historique et président du Conseil des sages du Rassemblement (Ndlr: principale plateforme de l’opposition) quitte Kinshasa dans quelques heures pour Bruxelles fin de passer un check-up médical, ont confirmé les sources familles.

Selon quelques membres de son parti politique dont son fils Félix Tshilombo Thsisekedi, qui s’est exprimé chez nos confrères de Jeune Afrique, il s’agit d’une « simple consultation » et le départ est prévu pour ce lundi soir sauf changement. « Il devrait prendre un peu de vacances, après six mois de présence ininterrompue, mais cela ne durera pas plus de quelques semaines« , a-t il précisé.  A en croire la famille politique d’Etienne Tshisekedi, cette absence ne remet pas en cause l’application de l’accord politique du 31 décembre, dont les travaux de finalisation sont en cours au centre interdiocésain de Kinshasa sous l’égide des évêques de la Cenco.



Toutefois, des sources concordantes, cette nouvelle du départ de Tshisekedi serait à la base du blocage actuel concernant le poste du premier vice-président du Conseil nationale de suivi de l’accord, dont Etienne Tshisekedi a été désigné président. Concernant ce blocage, le 1er secrétaire général adjoint de la CENCO affirme que la Majorité estime que ce poste lui revient, alors que le Front pour le Respect de la Constitution le revendique, du fait qu’il ne participe pas au gouvernement. Alors que l’opposition signataires de l’accord de la Cité de l’Union Africaine s’oppose également au pouvoir à ce sujet.

Selon le fonctionnement de cette nouvelle institution, en cas d’absence d’Etienne Tshisekedi, il reviendra au premier vice-président d’assurer l’intérim. Un proche du président de l’UDPS interrogé par la journaliste de Radio France Internationale, Sonia Rolley, confirme en effet que cette raison serait à la base de l’actuel blocage des discussions.

(politico via www.diaspordc.com)

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