Pub

Image Map
Image Map

0
Les discussions sur l'arrangement particulier pour l'application de l'accord du 31 décembre s'éternisant, la CENCO affirme de plus en plus envisager un "plan B". Lambert Mende, Porte-parole du gouvernement a réagi à ce propos. 



Exacerbé par la tournure que prend les discussions sur l’arrangement particulier à Kinshasa, une source proche de la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO), qui a requis l’anonymat, s’est confiée au micro de POLITICO.CD, fustigeant notamment le « comportement » de la Majorité Présidentielle. Pour elle, cette situation risquerait d’entraîner la mise en place « du plan B ». « Le nations unies vont gérer le pays pour aller aux élections, pas de Kabila, pas de gouvernement…« , a-t-elle dit.

Interrogé sur cette question par la journaliste Barbara Nzimbi, sur le plateau de l’émission « Regard sur… », le week-end dernier, le ministre des médias et Port-parole du gouvernement, Lambert Mende dit  être « curieux » de savoir ce qu’il en est exactement, prévenant que celui-ci devrait respecter la Constitution.

« Je suis aussi curieux de ce plan B. Si vous en avez quelques ingrédients, vous pouvez me les donner. Mais, en dehors de la Constitution, je ne vois pas quel plan peut marcher« , a répondu Lambert Mende.

‘Tout le monde veut que les choses se passent conformément à la Constitution. Je sais que les discussions peuvent paraître plus ou moins difficiles, elles peuvent paraître laborieuses, mais un plan B, si il se conforme à la Constitution, pourquoi pas l’examiner, mais si c’est en dehors de la Constitution, vous comprendrez que c’est un coup et que tout congolais serait fondé à s’opposer« , a-t-il ajouté.

Enregistrer un commentaire

Image Map
Image Map
 
Top